ANTI PSYCHIATRIC MEDICATIONS BUT NOT ANTIPSYCHIATRY
ANTI MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES MAIS PAS ANTIPSYCHIATRIE

A) In Norway an original experience a psychiatric ward for patients whorefuse psychiatric medications a revolution?
En Norvège, une expérience originale dans un service psychiatrique pour patients refusant les médicaments psychiatriques. Une révolution ?
Read this very interesting article / Lisez cet article :
B) Psychiatric medications more dangerous than heroin?
Les médicaments psychiatriques plus dangereux que l’héroine ?
THE OTHER FOUCAULT? FROM MADNESS AND SEXUALITY TO POLITICS
L'AUTRE FOUCAULT ? DE LA FOLIE ET LA SEXUALITÉ À LA POLITIQUE

PSYCHOSIS IS NOT ONLY A BURDEN.
FAMILIES LEARN FROM PEOPLE WITH PSYCHOSIS
LA PSYCHOSE PAS SEULEMENT UN FARDEAU.
LES FAMILLES APPRENNENT DES PSYCHOTIQUES

Abstract – Purpose: Psychosis is often seen as a “burden” on families and affected individuals frequently hold a negative view of themselves. This study explored the ways in which young adults who have experienced first-episode psychosis make a positive contribution within their families. Methods: Fifteen participants (seven young people with experience of psychosis and eight relatives) were interviewed separately. Their accounts were analysed using grounded theory methodology. Results: For many individuals, their experience had led to a catastrophic redefinition of their identity. However, they continued to contribute significantly both within their families and within their wider communities. The redefinition of identity sometimes appeared to create a “perceptual filter” whereby both the person themselves and family members overlooked or minimised their contribution, focusing instead on being alert to signs of psychosis or illness.
Conclusions: Shame and a focus on symptoms rather than achievements and contributions can limit significantly opportunities, expectations and movement beyond an illness identity. It is significant for clinicians to be aware of this and to help young people and Their families to gain notice and positive contribution, and promote recovery, well-being and posttraumatic growth.
Keywords: First-episode psychosis , contribution , burden , caregiver stress , illness identity
Résumé - Objectif: La psychose est souvent considérée comme un «fardeau» pour les familles et les personnes affectées ont souvent une vision négative d'elles-mêmes. Cette étude a exploré les façons dont les jeunes adultes ayant vécu un premier épisode de psychose apportent une contribution positive au sein de leur famille. Méthodes: Quinze participants (sept jeunes ayant une psychose et huit proches) ont été interrogés séparément. Leurs comptes ont été analysés en utilisant une méthodologie fondée sur la théorie. Résultats: Pour de nombreuses personnes, leur expérience a conduit à une redéfinition catastrophique de leur identité. Cependant, ils ont continué de contribuer de manière significative à la fois au sein de leurs familles et au sein de leurs communautés plus larges. La redéfinition de l'identité a parfois semblé créer un «filtre perceptif» selon lequel la personne elle-même et les membres de la famille ont négligé ou minimisé leur contribution, se concentrant plutôt sur les signes de psychose ou de maladie.
Conclusions : Le fait de se concentrer sur les symptômes plutôt que sur les réalisations et les contributions peut limiter considérablement les possibilités, les attentes et le mouvement au-delà d'une identité de maladie. Il est important que les cliniciens soient conscients de cela et qu'ils aident les jeunes et leurs familles à se faire remarquer et à apporter une contribution positive, et promouvoir le rétablissement, le bien-être et la croissance post-traumatique.
Mots-clés : premier épisode de psychose, contribution, fardeau, stress chez le soignant, identité de la maladie
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