Chercheur en modélisation et apprentissage statistique, Stanley Durrleman met depuis dix ans son expertise au service de la médecine, et plus particulièrement de la recherche sur les maladies neurodégénératives comme Alzheimer.
Des chercheurs du MIT ont adapté un modèle conçu pour le traitement du langage à l’analyse des séquences de protéines virales. Objectif : prédire dans quelle mesure certaines mutations permettraient au virus d’échapper au système immunitaire.