Le méta-apprentissage propose de construire des modèles capables… d’apprendre à apprendre. Enfin, d’apprendre mieux, plus vite, dans un certain domaine. L’idée a d’abord séduit en vision artificielle, elle fait ses premiers pas en traitement automatique du langage.
De plus en plus d’équipes de recherche en bio-informatique s’intéressent à l’apprentissage automatique pour analyser et interpréter les données génomiques. Ces travaux ouvrent de nouvelles voies pour la médecine, notamment en matière de diagnostic et de thérapie.